lundi 9 mars 2009

Bernard Schlink - Le liseur


Résumé : À l'âge de quinze ans, Michaël – le narrateur – découvre l'amour dans les bras d'Hanna, une voisine de vingt ans son aînée ; pendant six mois, il la rejoint tous les jours et partage avec elle plaisirs de la chair et moments de lecture. Mais sa maîtresse, personnage secret, disparaît un jour mystérieusement. Sept ans plus tard, Michaël la retrouve par hasard, alors qu'il assiste à un procès pour crime de guerre, où elle figure au banc des accusés ; il découvre à cette occasion un fait qui pourrait atténuer sa condamnation, mais choisit de n'en rien dire, par respect pour celle qui a marqué si profondément sa vie. Il renouera leur relation au cours des dix-huit années d'incarcération de celle qu'il comprend enfin un peu mieux.

Mon avis : Ce qui m'a lancé dans la lecture de ce livre, c'est la sortie du film, que je voulais voir mais n'en ai pas eu l'occasion. Alors je me suis dit que je devrais d'abord lire le livre. J'en avais entendu que du bien, mais j'ai eu un peu du mal. Je crois que je n'ai jamais réussi à entrer vraiment dans le livre, ni à aimer les personnages (ce que je trouve assez important). C'est un beau livre, sur un sujet qui touche, et j'ai eu hâte de savoir comment finir l'histoire. Mais je n'ai pas trouvé en lui un chef d'oeuvre. J'aime pourtant beaucoup les livres qui touche à l'histoire de la population lors de la seconde guerre mondiale. Mais ce livre fut pour moi une déception, à lire, mais sans plus.

6/10
Le liseur -Bernard Schlink
242 pages

PS : Je n'hésiterai pas à voir le film un jour, pour me faire une autre idée de l'histoire!


2 commentaires:

  1. D'accord avec toi, j'ai été aussi assez déçu. Ca se lit bien, mais ça s'oublie très vite, ce qui est assez embêtant, vu la gravité du sujet. Ce n'est pas un roman de plage! le style est fluide mais pas non plus extraordinaire... et j'ai du mal à cautionner une histoire d'amour entre un garçon de 15 ans et une femme de 35. Bref, je ne considère moi non plus pas ce roman comme un chef-d'oeuvre.

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  2. Je pense effectivement que nous avons le même ressenti Nicolas. Je n'ai pas accroché...

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